Cette vie est belle !

La vie est un cadeau qui nous est fait. Nous la célébrons, nous l‘aimons et nous la partageons. Indépendamment de notre passé ou de notre situation actuelle nous (re)découvrons qu’à la base vous/nous sommes des êtres formidables.


Comme pour pour tout humain, ce n’est pas toujours évident à percevoir ou à incarner. Mais une intuition nous le rappelle : c’est Dieu, le divin qui murmure dans le cœur de chaque humain, sous des formes qui peuvent être très différentes. Une intuition souvent hantée par nos blessures et nos peurs, et amplifiée par les dysfonctionnements et les injustices de notre société.

Nous découvrons que le Christ, c’est l’avènement d’une nouvelle réalité. Il replace le divin au cœur de notre existence et nous réconcilie avec lui.
A travers l’aventure humaine plutôt cahotique de l’Église, il a toujours réussi à transformer des vies et à propager cette Bonne Nouvelle parmi les humains. Il continue encore à le faire aujourd’hui.
Nous voulons participer à cette aventure, avec ce que nous sommes !

Jésus-Christ nous projette dans une réalité où la religiosité et le légalisme sont des béquilles obsolètes. Le Christ n‘est pas venu pour juger (Jean 3.17), mais pour être le déclencheur d’une vie en abondante (Jean 10.10). Une abondance qui nourrit une qualité de vie indépendante de nos circonstances et de nos impasses.

Ses maître-mots sont :

Liberté – Réconciliation – Adoption

Nous voulons explorer la vie selon lui, nous voulons la concrétiser, nous voulons nous y incarner et la partager ensemble. Nous voulons laisser notre perspective être bouleversée par une telle réalité.

Kaïros

S’incarner,
être présent à soi-même, s’accomplir,
marcher dans ses baskets….
Dans une société où on n’a jamais ‘gagné’ autant de temps, on vit avec le sentiment qu’il nous fuit et que
l’essentiel de nos vies nous échappe toujours.

La Bible parle du temps favorable, le moment choisi par Dieu. En grec, c’est le mot Kaïros.
Kaïros c’est ce moment d’éternité au coin de notre vie , où le temps s’arrête de fuir et nous immerge complètement.
Kaïros c’est le présent de l’Éternité, là où tout commence, le premier jour du reste de TA VIE !

La Bonne Nouvelle de Jésus-Christ est ce Kaïros aujourd’hui, plus que jamais.
Nous souhaitons le parcourir et le vivre ensemble. Avec vous pourquoi pas ?
C’est maintenant que ça se passe !
Pourquoi on s’intéresse au Christ ?

On ne présente plus Jésus-Christ, figure mythique dans notre culture occidentale. Son image est très positive même au delà des cercles chrétiens. Pourtant est-il la propriété intellectuelle des églises chrétiennes ? Non, il est un bien commun de l’Humanité. Son message et sa vision sont universels, ils ne sont pas épuisés par les pratiques religieuses.

Déjà en son temps, Jésus-Christ déconstruit l’idée qu’on se fait de Dieu et de celui qui lui ressemble tant, l’humain. Il jette un regard sans concession sur les mécanismes des sociétés humaines. Il ouvre une perspective qui renverse la table des préjugés. Cela lui coutera un passage délicat sur un morceau de bois. L’histoire parle d’une brèche qu’il a ouvert dans la grille infranchissable des tergiversations humaines…

Face à la richesse du personnage, dans le cadre de Kaïros, nous choisissons de nous concentrer sur lui.

petite F.A.Q Kaïros

Ça reste de la religion ?
Sans prétendre réinventer le christianisme et dans un monde déconnecté des sphères religieuses, le collectif Kaïros souhaite se faciliter l’accès à l’univers du Christ pour mieux le comprendre et s’en inspirer en puisant dans l’héritage religieux, en réactualisant sa portée aux enjeux actuels et en explorant les nouvelles perspectives qu’il nous ouvre.

Dans la mesure où le religieux est une pratique humaine qui s’intéresse au spirituel, l’activité de Kaïros est effectivement concernée par le religieux. Mais nous portons un regard curieux et innovant car nous avons besoin de vivre quelque chose qui ait du sens. Notre histoire commence et nous n’avons pas d’habitudes figées. Nous avons besoin de nous approprier notre pratique et nous découvrons comment le sacré prend des formes très variées souvent dans les détails les plus simples de nos vies.
Qu’est-ce que c’est que cette ‘Bonne Nouvelle’ ?
Tu es une personne formidable ! 🙂

C’est une Bonne Nouvelle, non ? On a rien inventé en disant cela. C’est quelque chose qu’on pressent intuitivement. C’est cette intuition qui façonne la perception humaine du divin.
Malheureusement, quand on se regarde dans le miroir, cette image devient floue rapidement. Notre quotidien qui nous échappe, nos regrets du passé ou nos inquiétudes pour l’avenir viennent ternir cette perspective. On est grignoté par toutes sortes de soucis, constellations de cibles ratées, amartia en grec, que les traductions bibliques ont traduit par péché. On n’y peut rien, c’est plus fort que nous, ça nous conditionne. Et c’est la mamelle de toutes les violences et oppressions de notre monde. Elle alimente les dysfonctionnements et leurs dérives dans l’existence humaine, individuelle et collective. Aucun espace ne lui échappe (oui, oui, la religion est une organisation humaine qui en est imprégnée).

C’est dingue quand on pense qu’on n’y est pas venus pour ça, on vaut mieux que ça !
Ce que le Christ inaugure, c’est une humanité libérée de ce poids de l’échec, subi ou potentiel. La souffrance ou la mort ne sont plus une impasse. On peut toujours être humain. C’est le regard que Jésus-Christ a posé sur ses contemporains. C’est le regard qui continue de se transmettre.
C’est la Réconciliation avec soi, avec son environnement et avec le divin.
Pourquoi un Collectif ?
Parce que seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin
La diversité des regards autour de ce même intérêt est à la fois un enrichissement et un encouragement à creuser plus loin. L’ouverture d’esprit n’est vraiment pas une fracture du crâne mais c’est un défi de chaque jour.
Au temps de la l’Athènes antiques En grec, l’assemblée des citoyens s’appelait ecclesia qui a dérivé vers le mot église en français. A la base, c’est un groupe de personne qui se rassemble autour d’un sujet commun. Aujourd’hui un Collectif c’est l’ecclesia moderne. C’est comme ça que nous percevons Kaïros : un groupe dont l’intérêt pour le Christ est la raison d’être.

Pour aller plus loin…

Des questions ? Des précisions ? Envie d’en savoir plus ?

Pourquoi on s’intéresse au Christ ?

On ne présente plus Jésus-Christ, figure mythique dans notre culture occidentale. Son image est très positive même au delà des cercles chrétiens. Pourtant est-il la propriété intellectuelle des églises chrétiennes ? Non, il est un bien commun de l’Humanité. Son message et sa vision sont universels, ils ne sont pas épuisés par les pratiques religieuses.

Déjà en son temps, Jésus-Christ déconstruit l’idée qu’on se fait de Dieu et de celui qui lui ressemble tant, l’humain. Il jette un regard sans concession sur les mécanismes des sociétés humaines. Il ouvre une perspective qui renverse la table des préjugés. Cela lui coutera un passage délicat sur un morceau de bois. L’histoire parle d’une brèche qu’il a ouvert dans la grille infranchissable des tergiversations humaines…

Face à la richesse du personnage, dans le cadre de Kaïros, nous choisissons de nous concentrer sur lui.

Qu’est-ce que c’est que cette ‘Bonne Nouvelle’ ?

Tu es une personne formidable !

C’est une Bonne Nouvelle, non ? On a rien inventé en disant cela. C’est quelque chose qu’on pressent intuitivement. C’est cette intuition qui façonne la perception humaine du divin.
Malheureusement, quand on se regarde dans le miroir, cette image devient floue rapidement. Notre quotidien qui nous échappe, nos regrets du passé ou nos inquiétudes pour l’avenir viennent ternir cette perspective. On est grignoté par toutes sortes de soucis, constellations de cibles ratées, amartia en grec, que les traductions bibliques ont traduit par péché. On n’y peut rien, c’est plus fort que nous, ça nous conditionne. Et c’est la mamelle de toutes les violences et oppressions de notre monde. Elle alimente les dysfonctionnements et leurs dérives dans l’existence humaine, individuelle et collective. Aucun espace ne lui échappe (oui, oui, la religion est une organisation humaine qui en est imprégnée).

C’est dingue quand on pense qu’on n’y est pas venus pour ça, on vaut mieux que ça !
Ce que le Christ inaugure, c’est une humanité libérée de ce poids de l’échec, subi ou potentiel. La souffrance ou la mort ne sont plus une impasse. On peut toujours être humain. C’est le regard que Jésus-Christ a posé sur ses contemporains. C’est le regard qui continue de se transmettre.
C’est la Réconciliation avec soi, avec son environnement et avec le divin.

Ça reste de la religion ?

Sans prétendre réinventer le christianisme et dans un monde déconnecté des sphères religieuses, le collectif Kaïros souhaite se faciliter l’accès à l’univers du Christ pour mieux le comprendre et s’en inspirer en puisant dans l’héritage religieux, en réactualisant sa portée aux enjeux actuels et en explorant les nouvelles perspectives qu’il nous ouvre.

Dans la mesure où le religieux est une pratique humaine qui s’intéresse au spirituel, l’activité de Kaïros est effectivement concernée par le religieux. Mais nous portons un regard curieux et innovant car nous avons besoin de vivre quelque chose qui ait du sens. Notre histoire commence et nous n’avons pas d’habitudes figées. Nous avons besoin de nous approprier notre pratique et nous découvrons comment le sacré prend des formes très variées souvent dans les détails les plus simples de nos vies.

Pourquoi un Collectif ?

Parce que seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin
La diversité des regards autour de ce même intérêt est à la fois un enrichissement et un encouragement à creuser plus loin. L’ouverture d’esprit n’est vraiment pas une fracture du crâne mais c’est un défi de chaque jour.
Au temps de la l’Athènes antiques En grec, l’assemblée des citoyens s’appelait ecclesia qui a dérivé vers le mot église en français. A la base, c’est un groupe de personne qui se rassemble autour d’un sujet commun. Aujourd’hui un Collectif c’est l’ecclesia moderne. C’est comme ça que nous percevons Kaïros : un groupe dont l’intérêt pour le Christ est la raison d’être.

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